À Paris en 1943 sous l’Occupation, le musicien Django Reinhardt est au sommet de son art. Guitariste génial et insouciant, au swing aérien, il triomphe dans les grandes salles de spectacle alors qu’en Europe ses frères tsiganes sont persécutés. Ses affaires se gâtent lorsque la propagande nazie veut l’envoyer jouer en Allemagne pour une série de concerts. «Reda Kateb, présent dans presque tous les plans, livre une prestation magistrale. Son visage mobile et extrêmement expressif est capable de livrer les états d’âme de son personnage sans un seul mot.» (Éric Moreault, Le Soleil)
Le jour des funérailles d’un célèbre écrivain, sa veuve blasée et cynique raconte à un jeune journaliste leurs cinquante années de vie commune. «MONSIEUR ET MADAME ALDELAMN, c’est aussi un regard sur le cinéma français. Le film évoque les belles années de Claude Lelouch, lorgne du côté Claude Sautet en sachant bien qu’il risque de se casser la gueule. Et sans crier gare, se permet, alors que c’est un premier long métrage abouti, de jouer la carte du grand film grand public intelligent, rassembleur, parce qu’ils nous ressemblent.» (Élie Castiel, Séquences)
Le bureau municipal sera fermé du 23 décembre 2017 au 7 janvier 2018.
Nous serons de retour le 8 janvier dès 8 h.
Joyeuses Fêtes à tous!
Cinq ans après avoir coupé les ponts, un romancier se rend au chevet de sa mère, atteinte de la maladie d’Alzheimer. Au gré de ses visites, il renoue avec cette femme de caractère, flamboyante et lâche, et qui maintenant attend de lui un ultime geste de compassion. « Porté par l’interprétation de Denise Filiatrault et de Gabriel Sabourin, C’est le cœur qui meurt en dernier est un émouvant regard sur des rapports complexes qui unissent une mère et son fils. C’est à ce jour ce qu’Alexis Durand Brault nous a donné de plus abouti. » (Charles-Henri Ramond, Films du Québec)